Sur deux cents kilomètres, le train longe le Baïkal, blanc. On aperçoit des 4 x4 le traversant à vive allure. Des pêcheurs installés sur leur tabouret pliant. Des familles qui se promènent. La frontière est effacée, entre la terre et l’eau. La frontière, c’est la vitre du train, et la poussière qui s’y colle.
Il n’y a pas grand’chose à voir, et c’est bien.